- Parce que nous sommes de plus en plus nombreux, entrepreneurs et dirigeants, cadres d’entreprise et actionnaires, en France et à travers le monde, à partager la conviction que l’entreprise moderne ne se réduit pas au partage des bénéfices dans l’intérêt commun des associés. Elle est aussi contributrice du bien commun.
- Parce que l’entreprise constitue un des plus puissants leviers de transformation pour répondre aux défis contemporains que représentent la pauvreté, le déterminisme social, la technologie ou le changement climatique.
- Parce que nous refusons l’idée que la recherche de profitabilité s’oppose à la poursuite d’une mission d’intérêt collectif. Nous pensons au contraire qu’une conception élargie du capitalisme permet à l’entreprise de mobiliser son plein potentiel pour répondre de façon très concrète aux défis plus larges de la société.
- Parce que nous souhaitons lutter contre ce soupçon de cynisme qui ne fait porter que des ambitions mercantiles aux décisions en entreprise.
- Pour toutes ces raisons, nous soutenons le modèle de l’entreprise à mission et souhaitons contribuer ensemble à concevoir et promouvoir les nouvelles formes d’entreprise qui s’ouvrent à nous.
Pour toutes ces raisons, que le Cèdre partage, nous avons rejoint la communauté des entreprises à mission.
Ce nouveau statut d’entreprise à mission a été officialisé dans la loi PACTE. Il a été entre autres travaillé dans le cadre d’un programme de recherche mené par le collège des Bernardins sous la direction du père Baudoin Roger et coordonné entre autres par Blanche Ségrestin (Mines ParisTech) et Olivier Favereau.
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